Biographie:

regards de son épouse et de ses amis

Né à Bruxelles le 1er mars 1966, dès son enfance Cédric Van Gucht sait ce qu'il aime...le dessin !

En 1989, il poursuivra son rêve en cours du soir à L’Académie Royale des Beaux Arts de Liège et c’est dans le domaine de la publicité qu’il développe ses connaissances et les techniques artistiques avec le graphiste et professeur Henri Claessen.

Il débute par l’illustration de magazines spécialisés et périodiques.




Il y découvre et apprivoise ensuite la sérigraphie auprès du Liégeois Bernard Desfrere, sérigraphe et professeur de dessin

La facilité d’expression et le besoin de créer lui permettent très rapidement d’obtenir de jolies réalisations. Il varie ses thèmes et ses supports pour repousser les limites de cette technique au plus loin de ses envies et répondre à ses besoins au sein de petites séries limitées originales. Par cette technique, il désire rendre accessible l’art et la culture à un plus large public et apprécie tout particulièrement l’accessibilité d’une œuvre pour chacun.

En parallèle et de façon autodidacte, il découvre l’aquarelle et commence à créer. Discret, ce n’est que sur l’instance de ses proches qu’il accepte de les présenter.

 

Influencé par le travail de José Van Gucht dont il est le petit cousin, il est sensible à la nature et peint principalement des marines et des paysages.

«Rien ne peut égaler la beauté d’un coucher de soleil, c’est la toile la plus belle du monde »


Il développe peu à peu son style propre mêlant à la force tranquille et décidée de son trait, la légèreté et la transparence de l’aquarelle ainsi que la profondeur de l’encre de chine

 

Artiste timide et réservé Cédric Van Gucht expose peu, il ne cherche pas la reconnaissance à tout prix.
Il préfère créer des œuvres uniques dans le style qui le caractérise en fonction des personnes rencontrées, de leur âme et de leur spécificité.


Il découvre voilà quelques années l’Art tibétain et suit les enseignements de Maître Tharpen Lingtsang qui l’initie au sein de l’Institut Yeunten Ling à Huy. Cet art sacré et doux mais néanmoins rigoureux, lui permet d’apprendre à ‘vibrer’ avec ses créations, d’appréhender la profondeur d’un tableau avec un regard neuf et de

«ressentir autrement le lien entre le beau et le vrai»

Aujourd’hui, il aborde la peinture à l’huile. Il garde toutefois une forte inclinaison pour l’aquarelle dont le style figuratif vacille du réalisme à l’imaginaire.

D’autre part, passionné d'informatique et de photographie, il effectue en infographie la conception d’images, de la retouche créative d’illustrations et de photos.